Nous étions dans les années 1980. Jeune marié, je décidais d'effectuer des remplacements pendant mes rares congés durant mon service militaire. J'avais trouvé un remplacement à la campagne avec des gardes le week-end.
Mon week-end de garde se passa bien. Je profitais d'une maison agréable à la campagne avec ma jeune épouse qui prenait la ligne téléphonique. Le médecin remplacé passait le week-end à l'extérieur de son domicile et rentrait le dimanche soir chez lui pour reprendre son travail dès le lundi matin.
Tout allait bien, jusqu'à l'appel de garde du lundi matin vers 7 heures demandant un médecin en urgence. Soucieux d'arriver à l'heure au régiment, je toquais à la chambre de mon confrère en lui expliquant le motif de l'appel. Sa réponse fut un grognement accompagné d'un refus catégorique.
Je ne me souviens plus si je fus sermonné pour mon retard à l'armée, mais mon opinion sur ce confrère indélicat était bien arrêtée.
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