La balance bénéfice/risque vis-à-vis du cancer penche en faveur d’une consommation accrue de fruits et légumes, même issus de l’agriculture conventionnelle, c’est à dire non bio. Cela épargnerait au moins 20 000 cas de cancers par an aux états-Unis ( Food Chem Tox 2012).
Les supprimer au prétexte qu’ils sont contaminés en pesticides en éviterait 10.
Il reste à élucider pourquoi parfois de faibles doses sont plus délétères que de fortes doses. C’est le problème des perturbateurs endocriniens tels que le bisphénol A, les phtalates, certains pesticides, le cadmium, les dioxines dont tous ne sont pas d’origine alimentaire. La question des effets cocktails - mélange de plusieurs contaminants - est aussi d’actualité.
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