Nos jeunes étudiants en médecine doivent avoir la possibilité de découvrir tous les champs d'exercices offerts. En ville, à l'hôpital mais aussi dans les cliniques privées et pourquoi pas dans l'industrie. Différents domaines qu'il faut pouvoir connaître avant la 6e année pour faire des choix en connaissance de cause alors qu’aujourd'hui ce n'est pas exactement le cas.
L’an dernier, les hôpitaux privés n’ont accueilli que 71 stagiaires parmi les 7 000 médecins en formation alors que nous faisons face à 4 000 départs de médecins, qu'il faut renouveler chaque année dans notre secteur. Recruter un successeur peut prendre un ou deux ans et les remplacements dans l'urgence, suite à la maladie ou au décès d'un confrère, demeurent compliqués. Nous sommes toujours en recrutement de spécialistes de plus en plus diversifiées.
Au-delà de la chirurgie, les activités de médecine, les métiers de l'urgence, de réadaptation fonctionnelle se développent aussi dans notre secteur. Nous offrons le champ le plus large possible pour exercer. Salariés, libéraux, regroupés avec d'autres confrères, nos médecins exercent individuellement et en totale indépendance et peuvent aussi devenir actionnaires. Chez nous, chacun peut trouver chaussure à son pied.
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