Une enquête s’est intéressée à la prise en charge des troubles du sommeil de l’enfant de moins de 4 ans, en soins primaires, dans la région du Limousin. Un questionnaire anonyme a été adresse à 485 médecins. 194 ont répondu dont 70 % d’hommes. La majorité connaissaient le temps de sommeil adapté à l’âge, abordaient les troubles du sommeil en consultation, mais en sous-estimaient la fréquence. 25 % ont déjà demandé des examens complémentaires et 74 % prescrit des médicaments, le plus souvent homéopathiques, à base de plantes ou antihistaminiques. Des conseils d’hygiène de vie sont donnés : mise en place de rituels, faire dormir l’enfant seul, température de la chambre (18°-20°C)… Plus de la moitié estimaient ne pas disposer de connaissances suffisantes. 82 % souhaiteraient un outil d’aide à la prise en charge et deux tiers une formation complémentaire.
Troubles du sommeil
Des connaissances à développer Abonné
Publié le 02/05/2014
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9323
Article précédent
Des écrans, mais quels écrans ?
Article suivant
Un chat sur la ligne
BPCO: le MG au cœur du dispositif de la HAS
Des recommandations spécifiques
Les généralistes à l’aise et efficaces
Les situations relationnelles délicates et les clés de la communication
Le rôle d’information et de prévention du généraliste
Faut-il vraiment réduire l’HbA1c ?
Un quotidien épineux
La nouvelle boîte à outils des généralistes
Des écrans, mais quels écrans ?
Des connaissances à développer
Un chat sur la ligne
Encourager le recours au généraliste
Écoute et dialogue, face aux victimes
La pilule, un choix parfois contraint
Penser à l’éducation thérapeutique pour l’aidant
Les généralistes impliqués
Le plus tôt possible
Vers une flambée des cas de rougeole en 2021 ? Des scientifiques s'inquiètent des conséquences de l'épidémie de Covid
Pour une prise en charge adéquate
Un risque de dépression à la ménopause
Les maladies rares impactées par la crise sanitaire, mais 30% des patients ont eu une prescription par mail lors de la première vague
Nawale Hadouiri, première vice-présidente de l'ISNI
« Un interne choisit une spécialité souvent après une expérience en stage »