Une étude présentée par le Dr Norrice Liu (Londres) a démontré que les particules fines de carbone inhalées passaient des poumons dans le sang maternel et réussissaient à franchir la barrière placentaire. Cinq femmes enceintes (non fumeuses) dont l’accouchement par césarienne était programmé au Royal London Hospital ont participé à cette recherche, en donnant leur placenta à la science après l’accouchement. Au moyen d’un microscope électronique, les macrophages ont été examinés. Dans 60 cellules (sur les 3 500 examinées), 72 « petites taches noires » correspondant à des particules de carbone ont été observées.
Norrice Liu et al. Late breaking abstract: Do inhaled carbonaceous particles translocate from the lung to the placenta? Abstract PA 360
Article précédent
Une procédure mini-invasive dans la BPCO
Article suivant
BPCO : un tiers continuent de fumer
Des solutions pour les patients inopérables
« Mieux intégrer d’autres professionnels de santé dans la prise en charge du patient »
La prévention reste une priorité
L’inquiétante progression de l’aspergillose
Le nintedanib évalué à long terme
Les agriculteurs aussi
Dangereux pour les poumons
Métastases cérébrales : la qualité de vie avant tout
La nouvelle arme des cigarettiers
Des variants génétiques en cause
Une procédure mini-invasive dans la BPCO
Un placenta pollué
BPCO : un tiers continuent de fumer
L’espoir des nouveaux antituberculeux
Hyperferritinémie, ce n’est pas toujours le fer
Syndrome de renutrition inappropriée : réalimenter selon les règles
Vers une flambée des cas de rougeole en 2021 ? Des scientifiques s'inquiètent des conséquences de l'épidémie de Covid
Pour une prise en charge adéquate
Un risque de dépression à la ménopause