Le traitement transfusionnel reste un élément majeur de la prise en charge thérapeutique de la drépanocytose mais il expose le patient à un risque d’hémolyses post-transfusionnelles. Cette destruction des globules rouges transfusés, essentiellement due à la production par le patient d’anticorps dirigés contre les globules rouges du donneur (allo-immunisation), est plus fréquente chez les patients drépanocytaires car les donneurs sont essentiellement d’origine européenne (95 %) et les patients d’origine africaine ou antillaise. D’où la nécessité d’une politique active de promotion du don dans ces populations « Pour diminuer l’incidence de l’allo-immunisation et ses conséquences, il serait important de pouvoir transfuser à ces patients des CGR provenant de donneurs de même origine géographique », expliquent France Noizat-Pirenne et Phlippe Bierling.
Transfusion Abonné
Publié le 05/07/2012
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9151
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