Les amputations réalisées dans le cadre d’un traumatisme ou d’une chirurgie carcinologique sont souvent proches de l’articulation, posant des problèmes de cicatrisation et de moignon court limitant les possibilités de réhabilitation par prothèse classique.
Des prothèses ancrées à l’os, sur le modèle de l’ostéo-intégration d’abord utilisée en chirurgie dentaire, se développent depuis quelques années, notamment en Suède. Les données font état d’une meilleure fonctionnalité, liée notamment à des performances sensorielles supérieures. Si l’infection est l’une des complications à redouter, une étude prospective souligne les bons résultats obtenus dans 95 % des cas, sous réserve d’une sélection rigoureuse des patients.
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