La mortalité à un an après un infarctus du myocarde a nettement régressé entre 1995 et 2009, passant globalement de 25 % à 15 %, selon le registre suédois SWEDEHEART qui a colligé plus de 370 000 cas entre 1998 et 2015. Un progrès majeur lié à l'avènement progressif des nouveaux traitements, angioplastie percutanée, statines, double anti-agrégation plaquettaire ou encore recours aux inhibiteurs de l'enzyme de conversion. Mais depuis 2009, un plateau a été atteint, malgré des stratégies thérapeutiques plus spécifiques, mais sans évolution des concepts thérapeutiques.
D'après la présentation du Dr Tomas Jernberg, Stockholm, Suède.
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