« Le cancer est une préoccupation fondamentale pour le médecin généraliste. L’obsession, c’est de passer à côté du diagnostic ou d’oublier les messages clefs de prévention…
Contrairement au premier plan cancer qui l’avait oublié, le deuxième plan cancer fait une vraie place au médecin traitant. Mais il y a encore loin avant que le généraliste puisse s’investir de façon pérenne dans la prise en charge des cancers faute d’une structuration adéquate des soins de premier recours par la loi. Pour cela, il faudrait notamment que soit rendue possible la mise en place d’association fonctionnelles à même de suivre le patient 24h sur 24 et que l’on dispose enfin d’une informatique communicante de proximité »
* médecin généraliste à Val de Saane (Seine-Maritime) et membre de la SFMG.
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