« Je consacre beaucoup plus de temps au dépistage du cancer de la prostate dans lmes consultations. Je ne prescris un dosage du PSA qu’après avoir informé le patient des implications que ce test diagnostic pourrait entraîner, il est donc souvent nécessaire d’y vouer une séance entière pour en parler. Bien que les recommandations ne permettent pas encore de trancher en faveur ou pas d’un dépistage de masse, leur lecture donne des arguments pour expliquer les avantages et les inconvénients du dosage de PSA et permettre un choix éclairé et conjoint. L’attitude actuelle de surveillance active de certains cancers m’intéresse également, et j’attends maintenant les prochaines études qui permettront de prédire les cancers qui vont évoluer ou pas».
L’avis du Dr David Costa*
« Informer pour dépister prend du temps »
Publié le 17/12/2010
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*Médecin généraliste à Codognan (Gard)
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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