« La question posée aux professionnels comme aux patients et à leurs associations ainsi qu’aux gestionnaires devient : est-il possible de faire mieux sans dépenser plus ? La réponse est oui. Oui, si les acteurs sont prêts à réviser le contenu du « panier de soins » pris en charge à 100 %, si les prescripteurs respectent la règle « du juste soin au juste coût »... , si on reconsidère le paiement à l’acte et la T2A mal adaptés à la prise en charge des maladies chroniques, si on évite les hospitalisations inutiles pour « bilan » et qu’on met en place une éducation thérapeutique ambulatoire, en ville et à l’hôpital, adaptée aux besoins réels des patients ».
Diabète : le plaidoyer du Pr Grimaldi Abonné
Publié le 14/11/2013
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9280
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