« Devant les coliques, pleurs, régurgitations, toux chronique, les parents nous supplient d’agir reconnaît le Dr Olivier Mouterde. Revenir à une prescription raisonnée et ciblée c’est se priver d’une arme utilisée dans des situations cliniques extrêmement fréquentes (30% des nourrissons ont des « coliques »). Pour reprendre l'exemple des pleurs du nourrisson, ils ne sont pas une indication, sauf en cas de reflux acide prouvé, qui pourrait justifier un traitement d’épreuve de deux semaines, L'efficacité d'une prescription "à l'aveugle" est cependant de 50%... comme celle du placebo. Peut-on prescrire un placebo à la place d'un IPP ?
« Peut-on prescrire un placebo à la place d'un IPP ? »
Publié le 25/06/2010
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Source : Le Généraliste: 2532
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