Les généralistes sont loin d’être absents dans la prévention des risques psychosociaux. « Ils sont souvent mieux formés au diagnostic de ces risques. Ils représentent un relais indispensable pour aider un salarié, dans le cadre d’un suivi psychothérapeutique, d’une mise sous antidépresseurs, voire d’une hospitalisation si nécessaire. Les généralistes comme les médecins du travail peuvent utiliser l’échelle de désespoir de Beck, un test très facile à réaliser », souligne François Crespo qui note qu’un suicidant sur deux a consulté son généraliste dans la semaine précédant l’acte. « Le généraliste a cependant souvent tendance à éviter d’aborder de front le risque suicidaire, au travers de questions précises sur l’éventualité d’un passage à l’acte. Si l’intention paraît réalisable, il ne faut pas hésiter à hospitaliser », ajoute-t il.
Les généralistes : des relais indispensables
Publié le 23/10/2009
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Source : Le Généraliste: 2502
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