Une étude canadienne menée auprès de plus de 200 000 femmes traitées depuis 5 ans par bisphosphonate, a montré que le risque de fracture atypique du fémur (fractures sous-trochantériennes) est multiplié par 2,7 par rapport aux femmes ne prenant pas de traitement. « Ces fractures liées aux biphosphonates présentent quelques spécificités, en particulier un aspect radiologique différent», évoque le Pr Chapurlat. Toutefois, cette étude ne remet pas en cause le cause le rapport bénéfice/risque des traitements : ces fractures atypiques sont extrêmement rares en cas d’ostéoporose et surtout bien plus rares que les fractures de l’extrémité supérieure du fémur : « pour 100 fractures de l'extrémité du fémur, 95 sont dues à l'ostéoporose et 5 sont atypiques », conclut le rhumatologue.
Fractures atypiques et bisphosphonates
Publié le 15/04/2011
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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