• Une « prime » équivalent d’un « treizième mois » : jusqu’à 7 000 euros par an pour un praticien qui aurait atteint 100 % des objectifs.
• Une façon de situer sa pratique par rapport aux confrères : une initiation ou un complément de la démarche d’EPP.
• Une meilleure prise en charge de ses patients chroniques, notamment hypertendus ou diabétiques, grâce à des outils qui permettent de travailler « en population ».
• Une valorisation du travail de prévention (comme convaincre une femme de se soumettre au dépistage du cancer du sein) qui n’était, jusqu’à présent, pas rémunéré du tout.
• Un dispositif relativement souple et surtout sans risque : le médecin peut dénoncer le contrat à tout moment sans conséquence pour lui.
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