• L’opposition de l’Ordre qui, dans l’état actuel du projet, n’exclut pas des poursuites disciplinaires.
• Une brèche dans le principe libéral du paiement à l’acte et le risque de faire dépendre une partie de sa rémunération des caisses.
• Un mode de calcul très compliqué, qui rend aléatoire toute anticipation sur le montant de la prime. De plus, le médecin traitant n’a pas entièrement la main sur les prescriptions de ses patients. Par exemple, s’il initie 68 % des traitements de statines, le reste l’est pas les spécialistes de ville ou l’hôpital.
• Un dispositif qui ne tient pas compte des caractériques économiques, sociales et culturelles de la patientèle qui rendent plus ou moins aisée l’atteinte d’objectifs en santé publique
• Le « paiement à la performance » s’accompagne d’une immixtion assez forte de la Sécu dans la pratique quotidienne.
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