Nous avons en France une population de sujets traités dont 90 % ont une charge virale indétectable, précise le Pr Delfraissy. Mais c’est une population hétérogène : durée d’infection, profil immunitaire et taille des réservoirs peuvent être différents. « En fonction de ces paramètres, les types de stratégies qui peuvent être proposées sont différents. Nous sommes rentrés dans une aire des biomarqueurs », explique le spécialiste. Et en particulier pour ce qui concerne les réservoirs du VIH. Ainsi, les PCR ultrasensibles permettent en routine la quantification de l’ARN viral et de l’ADN proviral présents dans le sang périphérique. Des biopsies digestives donnent aussi des indications sur la présence du virus en réserve. En étant adaptés de manière personnalisée, les puissants traitements antirétroviraux vont permettre de réduire les réservoirs du virus et autres « sanctuaires ».
Vers des traitements personnalisés
Publié le 07/03/2013
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9224
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