Certains patients répondent aux GLP1 et d’autre non. Identifier lesquels est une question clé dans le débat de la prescription précoce ou non de ces molécules. Plusieurs études présentées au congrès ont documenté le phénomène. L’équipe de Jean-Pierre Courrèges (1) a mis en évidence comme facteurs prédictifs de réponse au liraglutide dans le diabète de type 2 : les patients avec une HbA1c ‹ 8,5 % à l’inclusion ; de sexe féminin ; traités précédemment par des mesures hygiénodiététiques ou un antidiabétique en monothérapie ; ayant un diabète récent (< 4,9 ans). Une autre étude de vraie vie va dans le même sens (2). Soutenant un effet anti-inflammatoire sur le tissu adipeux, Bruno Vergès et al. suggèrent aussi que l’hypertriglycéridémie initiale est associée de façon indépendante au succès glycémique du liraglutide (3).
(1) PO3.
(2) P1142.
(3) P1097.
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