- Dans le groupe insuline, 80 % des patients avaient maintenu l’insuline à l’avant dernière visite, 47 % étaient sous metformine et 35 % n’utilisaient aucun agent hypoglycémiant oral.
- Dans le groupe traitement standard, 11 % étaient sous insuline à la fin de l’étude, 60 % sous metformine et 19 % n’utilisaient aucun agent hypoglycémiant oral.
- Les médicaments agissant sur le risque cardiovasculaire étaient utilisés de façon équivalente dans les deux groupes (54 % de statines, 53 % de bétabloquants, 70 % d’IEC ou d’ARA II)
Les différences entre les deux groupes en termes de traitement par la metformine et, surtout, par l’insuline, ont donc pu être maintenues durant toute l’étude. Pour les auteurs, l’absence de différence sur les critères primaires (2), malgré un gain de poids, un nombre plus important d’hypoglycémies, moins de metformine (connue pour être cardioprotectrice), et un contrôle glycémique pas plus intense (mais meilleur dans les faits), suggère un effet propre de l’insuline. Quoi qu’il en soit, ces résultats incitent à réaliser d’autres études sur l’effet des régimes insuliniques sur la fonction pancréatique dans ce contexte.
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