Autre point d’intérêt de cette session technologies au congrès, le Diaßchip des équipes de l’Université de Bordeaux, dont les perspectives font rêver. Il s’agit d’un capteur bio-électronique destiné à mesurer de façon non invasive l’activité électrique générée par les cellules bêta en réponse aux variations glycémiques et hormonales. Il a été montré qu’il était possible d’attirer des îlots de souris, en culture, sur les microélectrodes de mesure (abstract PO29), puis d’analyser les courants électriques émis par les îlots et de démontrer une réponse dose-dépendante en fonction de la variation de la glycémie. L’adjonction de GLP1 à des concentrations picomolaires est aussi capable d’activer le système (abstract O51). Un usage en laboratoire est envisagé à terme (criblage pharmacotoxicologique ou viabilité des îlots pré-transplantation).
La santé des îlots à distance Abonné
Publié le 12/06/2014
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Source : Bilan spécialistes
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