Si on ôte les fresques, il restera les frasques.
Dr Bernard G
Certaines fresques – comme celles de l’hôpital Saint-Antoine – font partie intégrante de l’histoire des salles de garde. Pas sûr que les reliques grivoises de Pompéi auraient survécu à la pudibonderie de nos tartufes d’aujourd’hui… Ni que cette dictature de la bien-pensance ne finisse pas par desservir la cause qu’elle prétend défendre.
Dr François L
On ne peut plus rigoler en Macronie, c’est clair. Pour autant que je me souvienne, les filles s’amusaient autant que les garçons à contempler ces fresques. Qu’est-ce que l’administration vient faire dans les salles de garde ? Elle s’occupe, comme d’habitude, de ce qui ne la regarde pas. Le message est clair : « Travaille, même si tu es méprisé et mal payé, ferme-la, et surtout ne rigole pas ». L’humour est toujours très mal vu dans les régimes autoritaires. En effet, c’est un signe de liberté d’esprit.
Dr François P
C’est vous qui le dites
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Éditorial
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