Depuis la mise en place en 1985 de la base nationale de pharmacovigilance, à peine 567 déclarations d’événements indésirables graves ont été identifiées par l’ANSM pour l’ensemble des générations de pilules contraceptives. Des accidents trombo-emboliques pour l’essentiel survenus dans 43 % des cas avec des pilules de deuxième génération, dans 43 % des cas également avec des pilules de troisième génération et dans 11 % des cas avec des pilules de quatrième génération. Sur les 27 dernières années, l’ANSM fait état de 13 cas mortels liés à un accident trombo-embolique artériel ou veineux chez des femmes sous pilules (1 cas sous pilule de première génération, 6 cas sous pilule de deuxième génération, 4 cas sous pilule de troisième génération et 2 cas sous pilule de quatrième génération). « Ces femmes avaient entre 16 et 42 ans et dans 90 % des cas, il y avait un facteur de risque associé », souligne Dominique Maraninchi.
567 événements graves signalés Abonné
Publié le 14/01/2013
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9209
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