« Je suis plutôt réservé quant à l’arrêt de Grenoble. Pas sur le fond mais sur ses conséquences pratiques. Si tous les généralistes qui ont la qualification de spécialistes en médecine générale se mettent à coter un Cs à 23, je crains fort qu’ils n’aillent au-devant de contentieux généralisés avec l’assurance-maladie. Cette dernière risquant très certainement de les taxer d’hyper-libéralisme. Et Dieu sait si les généralistes subissent déjà des tracasseries administratives de la part des caisses. Bref, encore une fois, même si pour moi, la revendication est cohérente, une décision de justice ne saurait se substituer à un accord conventionnel. D’autant que la mise en place du C à 23, et non du Cs, devrait être pour bientôt ».
"Un arrêt ne remplace pas un accord conventionnel"
Publié le 20/03/2009
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Crédit photo : ©AUBESPIN
Dr Rémy Sebbah, généraliste à Marseille, (13)
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Source : Le Généraliste: 2482
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