San
Francisco, 13-17 juin 2014. Point de grande étude
interventionnelle cette année lors de la grande messe américaine du diabète, dont l’actualité thérapeutique a été dominée par les – plus ou moins – nouvelles classes thérapeutiques, dont la dernière venue, les
glimides, pourrait faire oublier les
glitazones perdues.
C’est en prévention que les choses se précisent, avec des études pointant, toujours un peu plus, le rôle clé de l’hygiène de vie et de l’activité physique (notamment
versus
metformine) mais aussi de l’environnement et de la pollution, comme déterminants dans la
pathogénie du diabète.