La réforme de la médecine légale du 15 janvier 2011 a clarifié l’attachement de ces services à la Chancellerie, tant sur le plan de l’organisation que sur celui des financements (un budget propre est dédié à la médecine légale). L’activité du service de médecine légale s’est fortement diversifiée ces dernières années : levées de corps sur demande d’un officier de police judiciaire, réalisation des autopsies médico-légales, examens de cadavres… La médecine légale thanatologique ne représente que de 6 % de l’activité du service. Le reste du temps, les quelque 20 professionnels accueillent les victimes de toute forme de violence et leurs auteurs. Il s’agit de déterminer la nature des violences qui seront communiquées à la justice mais également de les prendre en charge, de les orienter et de les accompagner. La médecine légale du vivant se tourne ainsi vers une prise en charge globale, y compris psychologique et juridique.
Cadavres et vivants Abonné
Publié le 14/04/2014
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9318
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