Avec leur flair, les chiens du projet K-Dog à l'Institut Curie sont capables de détecter un cancer du sein à partir de lingettes imprégnées de sueur. Est-il possible d'utiliser plus largement les odeurs en médecine comme biomarqueurs diagnostiques et pronostiques ?
C'est le pari que fait l'équipe du Pr Philippe Devillier à l'hôpital Foch (Suresnes) à travers le projet VolatolHom avec les composés volatiles de l'air expiré (ou VOCs pour volatile organic coumpounds), le volatolome, en faisant souffler les patients dans des nez électroniques.
Produits de santé connectés
La HAS à l'assaut des DM intelligents
Médecins en souffrance : le réseau SPS vise une prise en charge globale
Agnès Renard (S3Odéon) : « Mieux comprendre les enjeux de la santé et de la médecine de demain »
À Bruxelles, la longue lutte contre la tuberculose