Après analyse d’effets secondaires cutanés rares mais graves, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) rappelle que le traitement par décontracturant musculaire est un traitement symptomatique et qu’il existe des alternatives thérapeutiques au tétrazépam dont des prises en charge non médicamenteuses. Quand les spécialités à base de tétrazépam doivent être utilisées, l’ANSM recommande de limiter leur durée d’utilisation au strict minimum. L’ANSM a initié le 20 décembre 2012 une procédure d’arbitrage sur le rapport bénéfice /risque de cette molécule auprès du Comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) qui devrait statuer dans les meilleurs délais.
Remise en cause du rapport bénéfice/risque du tétrazépam (Myolastan et génériques)
Publié le 14/01/2013
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Dr A.T.-M.
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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