En ce qui concerne les corticoïdes IVT, leur passage systémique est faible, mais plus élevé dans les injections périoculaires qu’intraoculaires. On a montré, 6 heures après une injection périoculaire, un doublement de la glycémie, similaire à ce qui est entraîné par des bolus de corticoïdes IV.
Il existerait donc un potentiel risque de décompenser un diabète par des injections périoculaires de corticoïdes. Même si l’augmentation de la glycémie est transitoire et les injections peu fréquentes, on préférera privilégier la voie intraoculaire chez le diabétique. Un consensus d’experts recommande, pour le traitement de première ligne de l’œdème maculaire du diabétique, de recourir plutôt à la dexaméthasone en cas d’antécédents CV et en l’absence d’une hypertonie oculaire.
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