Avec le terrorisme, les médecins civils et militaires voient aussi, désormais, des blessures de guerre sur le sol français. Les ophtalmologistes de Percy et de l’APHP ont pu le mesurer le 13 novembre 2015 lors des attaques survenues à Paris. « Ce soir-là, ce sont surtout des blessures par balles qu’il a fallu prendre en charge. Au total, il y a eu une dizaine de blessés oculaires. Deux de ces patients ont été hospitalisés à Percy et les autres sur l’APHP. Il s’agissait d’atteintes oculaires d’une extrême gravité avec de très fortes répercussions au plan psychologique pour ces victimes », indique la Pr Froussart-Maille, en précisant qu’une communication collégiale sur ces attentats sera présentée lors du prochain congrès de la Société française d’ophtalmologie.
Attentats du 13 novembre Abonné
Publié le 28/01/2016
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Source : Bilan spécialiste
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