En France, les greffes effectuées à partir de donneurs vivants ne sont pas de pratique très fréquente (5 %) comparativement à celles des pays scandinaves par exemple où les taux approchent les 40 %. D’où la volonté d’élargir le cercle des donneurs en permettant aujourd’hui les dons croisés ou provenant de personnes n’appartenant pas à l’entourage familial, mais qui « entretiennent des liens affectifs et durables avec le futur greffé », toujours sous le contrôle de l’Agence de la biomédecine.
Il reste que, en France, ces greffes à partir de donneurs vivants ne concernant plus aujourd’hui que les transplantations rénales car l’opération est dans ce cas estimée peu dangereuse tout en offrant un grand bénéfice au receveur. Ce n’est pas le cas pour le foie (excepté chez les enfants) ni pour les poumons.
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