Alors que l’appendicite aiguë survient principalement chez les enfants et les jeunes adultes, l’utilisation du scanner à visée diagnostique, qui s’est largement répandu ces dernières années malgré de nombreux débats, pose problème au regard de l’irradiation et du risque de carcinogénèse, faible mais réel. Des chercheurs coréens apportent des éléments rassurants en montrant chez plus de 890 sujets au total que le scanner faible dose, tout en réduisant de 50 à 80 % la dose irradiée, est aussi performant pour poser le diagnostic d’appendicite que l’examen standard. De plus, le taux de perforation et le recours à une imagerie complémentaire ne se sont pas révélés différents entre les deux groupes.
N Engl J Med 2012;366:1596-605.
Vers une flambée des cas de rougeole en 2021 ? Des scientifiques s'inquiètent des conséquences de l'épidémie de Covid
Pour une prise en charge adéquate
Un risque de dépression à la ménopause
Les maladies rares impactées par la crise sanitaire, mais 30% des patients ont eu une prescription par mail lors de la première vague
Nawale Hadouiri, première vice-présidente de l'ISNI
« Un interne choisit une spécialité souvent après une expérience en stage »