Environ un tiers des patients opérés de la peau reçoivent des anticoagulants et des antiagrégants plaquettaires. La chirurgie dermatologique est considérée comme à faible risque hémorragique (0,91 % de complications hémorragiques sévères dans une étude prospective multicentrique récente), et la survenue d’accidents ischémiques graves à l’arrêt du traitement, rapportés notamment dans une vaste série nord-américaine, fait préconiser la poursuite de celui-ci dans la très grande majorité des cas.
Anticoagulants
Du temps avant tout
Par
Dr Isabelle Hoppenot -
Publié le 14/06/2018
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