Après hospitalisation pour décompensation, les patients sortent avec un ARNI en l’absence de contre-indication, associé à un ARMC, un iSGLT2, un bêtabloquant à faible dose, et des diurétiques pour contrôler la symptomatologie. Il est plus efficace d’associer les différentes molécules à faible dose qu’une seule à forte posologie. « Pour les insuffisants cardiaques vus en ambulatoire, on débute généralement par l’ARNI, le bêtabloquant à faible dose et l’iSGLT2. On revoit les patients tous les 15 jours pour augmenter les doses de l’ARNI et du bêtabloquant, puis instaurer un ARMC », précise le Pr Galinier. Une alternance de titration par télésurveillance et par consultation classique permet d’avoir les quatre molécules à la posologie optimale dans les quatre semaines.
Instaurer rapidement quatre molécules
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Publié le 13/05/2022
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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