Anticorps monoclonal non 100 % humanisé, le bococizumab a vu son développement clinique interrompu fin 2016, en raison de l’apparition chez de 10 à 15 % des patients traités d’anticorps antibococizumab atténuant les effets lipidiques de la molécule. Malgré cet arrêt prématuré, il a été démontré une diminution significative du risque d’événements CV majeurs, au terme d’une seule année de traitement, chez les patients avec un LDL-c de base supérieur à 1 g/L. C’est le résultat de l’étude SPIRE 2 menée chez 10 500 patients, en prévention CV secondaire dans 81 % des cas.
Arrêt du bococizumab
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Publié le 21/06/2018
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Source : Bilan Spécialiste
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