L’ipilimumab, un anti-CD4, seule immunothérapie aujourd’hui agréé dans le mélanome métastatique, peut-il être utile en situation adjuvante dans les mélanomes de stade III à haut risque de récidive ? C’est ce qu’une étude de phase III s’est attachée à évaluer, avec à la clé un bénéfice en termes de récidive mais au prix d’effets secondaires considérables. Affaire à suivre, les nouvelles immunothérapies – anti-PD1, PDL1 – ayant probablement un profil de toxicité plus à même de gagner le pari du rapport bénéfice/risque en situation adjuvante.
Abstract LBA 9008
Dr Vincent Pradeau (Avenir Spé) : « Les spécialistes libéraux sont mobilisés et remontés comme jamais ! »
Le pilotage de précision des grossesses sous immunosuppresseurs
Sarcoïdose : souvent thoracique, mais pas que
Savoir évoquer une dermatose neutrophilique