Dans les années 1980, l’activité physique ne suscitait aucun intérêt de la part des professionnels de santé en charge des cancers en France. Seuls les traitements validés étaient jugés comme prioritaires, le reste était accessoire. Ce n’est qu’en 1999 que quelques oncologues pionniers ont publié le premier essai prospectif démontrant l'amélioration de la qualité de vie de 27 patientes traitées par chimiothérapie pour un cancer du sein, grâce à un programme d’activité physique de huit semaines à domicile.
Un atout anti-cancer
Par
Dr Laetitia Fartoux -
Publié le 16/05/2019
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Crédit photo : S. T.
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