La générale de santé saisit l’occasion du lancement de son second plan cancer pour attirer l’attention de la nouvelle directrice générale de l’INCa, Anne Burstin sur les nombreux atouts de l’offre de soins privés en cancérologie. « Nous espérons être associés au 3e plan cancer promis par les pouvoirs publics », souhaite le Dr Philippe Souchois. « Aujourd’hui, la recherche peut aussi s’appuyer sur les centres anticancéreux privés et nous regrettons que les appels à projets de l’INCa soient vraiment dirigés vers le secteur public. Aucun pilote privé n’est retenu aujourd’hui pour faire avancer la recherche dans ce domaine alors que 40 % des patients atteints de cancer en France sont pris en charge dans notre secteur », déplore le directeur de la cancérologie à la Générale de santé. Jean-Pierre Martin, de l’institut lyonnais Jean Mermoz, regrette aussi l’isolement du secteur privé en matière de formation. « On attend beaucoup de l’arrivée des internes dans nos structures même si cela s’accompagne d’un poids salarial important. L’an dernier seul 14 internes ont rejoint des établissements de la générale de santé, ils devraient être 40 l’an prochain ».
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Publié le 24/09/2012
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9162
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