Une analyse récemment parue de la cohorte CANTO (CANcer TOxicities), a évalué la qualité de vie de 4 262 patientes atteintes d’un cancer du sein localisé (stade I à III), au moment du diagnostic, à un an puis à deux ans. Les patientes, dont 63 % étaient ménopausées, avaient eu une chirurgie (+/- radiothérapie) et 53 % d’entre elles une chimiothérapie. Elles étaient ensuite 82 % à recevoir une hormonothérapie pendant au moins 5 ans (1).
Qualité de vie
L’hormonothérapie délétère ?
Par
Karelle Goutorbe -
Publié le 21/11/2019
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur Twitter
Twitter
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Déjà abonné ?
Secteur public, privé, en salariat ou associé
Quel exercice quand on est jeune biologiste médical ?
À Nîmes, les chirurgiens cardiaques d'une clinique avec l'épée de Damoclès de l'ARS au-dessus de la tête
Usual suspect
Les vertiges au-delà du vestibule
Trop d’examens microbiologiques sont inutiles
Comment optimiser le dépistage des IST