La meilleure solution serait d’avoir un test très sensible et très spécifique à la fois. C’est pourquoi des travaux portent sur la recherche d’ADN muté (ou des protéines anormales produites par cet ADN) dans les selles. Le problème concerne la faisabilité en routine, d’autant qu’il existe des dizaines de mutations possibles. Pour autant, les chercheurs espèrent bien trouver, dans les années à venir, une signature du cancer – à partir de ces protéines mutées – qui simplifierait l’analyse. Dernière piste de réflexion, enfin, celle qui consiste à trouver de l’ADN tumoral circulant, ce qui permettrait de faire un dépistage cette fois, à partir d’une simple prise de sang.
Et demain ? Abonné
Publié le 24/03/2011
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8930
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