Longtemps orphelins, les cancers pulmonaires à petites cellules et les mésothéliomes malins bénéficient depuis peu de l’immunothérapie. « Dans les cancers diffus à petites cellules, deux études (Caspian et In Power 133) ont montré qu’associer chimio et /immunothérapie augmentait la survie spécifique et totale. Cette stratégie bénéficie néanmoins à peu de patients, mais on alors des réponses prolongées », indique le Pr Cortot (Lille). Résultat, le taux de patients survivants à 2 ans est augmenté. Une AMM a été acordée.
Dans le mésothéliome malin pleural, une étude française (Maps 2), avait montré l’an passé l’efficacité de l’immunothérapie en 2e ligne, avec à la clé une ATU. Cette année, l’association chimio/immunothérapie et/ou la double immunothérapie ont à leur tour fait leurs preuves en 1re ligne.
Hyperferritinémie, ce n’est pas toujours le fer
Syndrome de renutrition inappropriée : réalimenter selon les règles
Vers une flambée des cas de rougeole en 2021 ? Des scientifiques s'inquiètent des conséquences de l'épidémie de Covid
Pour une prise en charge adéquate
Un risque de dépression à la ménopause