Les freins au développement de la chirurgie robotique sont liés à la fois à son coût et à son accessibilité à l'ensemble des chirurgiens. L'investissement est d'environ 1,5 million d'euros, avec un surcoût par intervention d'environ 1 000 à 1 200 euros – liés aux instruments de durée de vie limitée (10 utilisations) – à la charge de l'établissement, du fait de l'absence de remboursement spécifique.
Quant au chirurgien, s'il doit maîtriser la cœlioscopie conventionnelle, il faut également qu'il soit formé spécifiquement à la chirurgie robotique, et ce quel que soit son niveau d'expertise initiale.
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Tribune
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