Ophtalmologues, gynécologues, psychiatres (pour les 16-25 ans) et stomatologues. Ces quatre spécialités sont accessibles directement par les patients, sans passer par la case médecin traitant. Insuffisant, estime l’Académie de médecine, qui préconise dans un récent rapport d’assouplir l’accès à d’autres spécialités (dermatologues, rhumatologues, urologues…). L’enjeu est d’améliorer l’accès aux soins dans un contexte ou près de 20 % de Français n’ont pas de médecin traitant.
Le parcours de soins est-il devenu un obstacle à l’accès aux soins ? Faut-il le remettre en cause ? Quelles spécialités pourraient bénéficier d’exceptions ? Faut-il limiter ce dispositif à certaines pathologies ? Cela remet-il en cause le rôle du médecin traitant ? Comment garantir un bon suivi des patients dans ces conditions ? Forme-t-on assez de spécialistes (autres que les généralistes) en France ? À vous de débattre…
Enquête flash : peu de volontaires pour exercer en zones rouges
C’est vous qui le dites
« Les conseillers ordinaux nationaux ne représentent qu'eux-mêmes »
Éditorial
Et maintenant ?
Une obligation d’aller sur les bancs de l’école pour exercer !