Dans une étude publiée récemment, l’IRDES (Institut de recherche et documentation en économie de la santé) donne un coup de projecteur sur les conséquences du renoncement aux soins. Mais quelles en sont les causes ?
La précarité n’explique pas à elle seule que 16 % des Français soient aujourd’hui concernés par ce problème. Les politiques et les associations de consommateurs pointent souvent du doigt les médecins, accusés de pratiquer avec excès les dépassements d’honoraires. Nathalie Arthaud, candidate de Lutte Ouvrière à la présidentielle, jugeait récemment injustes les dépassements d’honoraires, véritable obstacle selon elle, à l’accès aux soins par tous. Mais les complémentaires sont-elles aussi accusées de pratiquer des tarifs excessifs. Résultat : beaucoup de Français non éligibles à la CMU n’en bénéficient pas.
Quelle est la part de responsabilité des médecins dans ce constat ?
Le renoncement aux soins est-il une fatalité ? Quelles solutions peut-on mettre en œuvre pour y remédier ?
A vous de débattre…
Continuer ou pas la grève avec un PLFSS « moins pire » ? La profession ne rend pas les armes mais se concerte
« Si ce PLFSS est voté en l’état, on l’attaquera » : réélue à la tête du SML, la Dr Sophie Bauer l’arme au pied
Secteur 2 menacé : 1 700 spécialistes de bloc inscrits à l’opération « Exil à Bruxelles »
« L’accès aux médecins généralistes et spécialistes se détériore encore », selon le collectif Nos services publics