Médecin exerçant depuis plusieurs dizaines d'années, j'ai vécu cette fois un traumatisme considérable, ressenti personnellement et également par la plupart de mes confrères. En effet, c'est la première fois que, dans l'exercice de notre profession, nous avons subi une pression extraordinaire de nos « autorités » de santé pour ne pas prescrire un traitement connu et utilisé depuis des décennies.
De plus, pour être sûr de l'efficience de cette interdiction, il a été fait une interdiction aux pharmaciens de fournir ce produit (pour des motifs aberrants tels que le risque de manquer de ce produit pour les purpuras rhumatoïdes ou autres…) et par l'explication, également aberrante, de la dangerosité de ce produit dans les mains d'un médecin de ville et non en milieu hospitalier…
Comment pouvons-nous qualifier cette décision de la hiérarchie ?
La suite apportera des réponses de bon sens.
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