« L'explication de la baisse est dans une augmentation plus rapide des charges par rapport aux recettes car les généralistes ne travaillent pas moins ! Ces charges peuvent être des travaux pour l'accessibilité aux personnes handicapées, les coûts du loyer, le prix des logiciels métier, le personnel… Cela prouve aussi que les divers forfaits mis en place [patientèle, ROSP] ne suffisent pas à combler la différence par rapport aux tarifs toujours déconnectés du contenu de la consultation. »
* Président des Généralistes-CSMF
Formation initiale hors du CHU, le grand défi
Le développement des stages ambulatoires (enfin) au programme
Syndicats médicaux : grandes manœuvres en ville
RCP : les praticiens libéraux de bloc moins mis en cause, mais davantage de dossiers lourds
Après le plan hôpital, la médecine de ville est-elle oubliée du gouvernement ?