« Je n’envisage pas de m’installer seule »
« J’ai eu la chance de faire un stage de médecine générale en 5e année. Cette expérience m’a confortée dans mon choix. Le métier de médecin généraliste permet d’établir une relation de confiance avec les patients sur le long terme, de faire des visites... Je n’aime pas l’ambiance du CHU, sa hiérarchie et ses "guéguerres" entre spécialistes. J’ai vu des grands professeurs qui ne respectaient pas beaucoup leurs patients, des visites rapides qui duraient deux minutes, "bonjour-au revoir"... J’ai été élevée à la campagne et je suis attachée à mes racines. J’ai envie de travailler en secteur libéral dans une maison de santé pluriprofessionnelle. J’aimerais exercer 9 à 10 demi-journées par semaine pour avoir du temps pour ma famille. Je n’envisage pas de m’installer seule car la charge de travail est énorme. J’ai fait des stages chez des médecins qui exerçaient en groupe avec d’autres professionnels. J’ai apprécié les réunions de staff. »
« L’accès aux médecins généralistes et spécialistes se détériore encore », selon le collectif Nos services publics
Pr Paul Frappé (CMG) : « Le métier de généraliste a besoin d’une reconnaissance européenne »
« Asphyxie », « folie douce » : colère unanime des médecins libéraux face à un Ondam soins de ville « intenable »
« Excusez-moi du terme, mais c’est un peu la chienlit » : à La Grande-Motte, les cadres du SML sonnent l’alarme