Mercredi 24 novembre, une nouvelle polémique avait éclaté entre les remplaçants et l’Agence nationale du développement professionnel continu (ANDPC).
Suite à la décision de l’ANDPC de ne plus permettre aux remplaçants de suivre des actions de DPC indemnisées, l'agence demandait dans le même temps à ces médecins de rembourser les montants pris en charge, pour les formations suivies depuis le 18 septembre, au titre des indus. Une nouvelle disposition qui avait provoqué la colère des remplaçants et l’indignation de leur syndicat ReAGJIR.
Suite à ces réactions, dans la soirée du mercredi, l’ANDPC a envoyé un nouveau mail aux médecins pour revenir sur cette décision.
« L’Agence nationale du DPC a reçu depuis l’envoi des alertes d’hier soir (…), des messages de professionnels remplaçants disant ne pas avoir eu communication, avant ce message, de l’information relative au non-financement de l’Agence », écrit l’ANDPC.
Cette dernière a donc décidé de prolonger la dérogation prévue pour les remplaçants qui devait courir pour les formations jusqu’au 17 septembre. Elle sera finalement appliquée pour toute l’année 2021.
« La dérogation en matière de prise en charge qui leur sera appliquée par l’Agence concernera l’ensemble des sessions suivies en 2021 sur lesquelles ils seraient encore inscrits », précise l’ANDPC. En revanche, plus aucune inscription au DPC ne sera prise en charge pour les remplaçants à partir de 2022, maintient l’Agence.
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