Souvent méconnues du fait du déconditionnement qui réduit peu à peu l'activité des patients, 1/3 seulement des BPCO sont diagnostiquées. La certitude diagnostique repose sur la mise en évidence d'une obstruction bronchique incomplètement réversible, qui ne peut être prouvée (présence d'une FEV1/FVC inférieure à 0.7) et quantifiée que par la spirométrie. Les EFR devraient être demandées devant toute dyspnée, toux chronique, expectoration ou notion de tabagisme ; le recours plus fréquent aux « piko » permettrait aux généralistes de sélectionner les patients qui doivent en bénéficier. « On estime que 80 à 85 % des patients sont GOLD I ou II au moment du diagnostic. Or c'est à ces stades que les mesures thérapeutiques appropriées peuvent espérer enrayer l'évolution de la maladie », insiste le Pr Dusser.
N'oublions pas le diagnostic !
Publié le 08/10/2010
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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