« La profession divisée à parité sur le fait d’être armé face à une possible crise traduit,
je pense, notre sentiment d’être laissés pour compte. C’est un peu du ?ni oui ni non?. Lorsqu’on voit les images hospitalières dans les médias avec le scaphandre et tout le reste, on se sent quelque peu démunis avec nos masques et nos gants. Ce qui rejoint la question de la formation. Si c’est pour nous dire ?mettez vos masques et lavez-vous les mains?, c’est inutile. En revanche, je pense que nous expliquer comment fonctionne le dispositif sanitaire, où est-ce que nous intervenons, quelle y est notre place, et comment éviter des risques pour nos proches, serait salutaire. Les médecins généralistes aussi peuvent être inquiets ».
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« En Saône-et-Loire, les généralistes nous avons été bien informés »
« Une part de déni »
« En Saône-et-Loire, les généralistes nous avons été bien informés »
« Les généralistes se sentent démunis »
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