Diverses études confirment que les PN dosés à l'admission constituent le paramètre le plus prédictif du nombre de décès à l'hôpital, indépendamment de la FEVG et que les chiffres de sortie augurent de la morbi-mortalité à moyen et long terme. On doit néanmoins tenir compte des variations physiologiques du BNP qui peuvent atteindre 30% pour éviter l'échec de certains essais basant le suivi sur l'évolution du BNP. Ainsi PRIMA, où l'adaptation thérapeutique visant une réduction d'au moins 10% du BNP au cours de l'hospitalisation n'a pas fait mieux que la stratégie classique, ou SURVIVE, où la baisse de 44% du BNP en 24H n'a pas eu de traduction clinique sur la mortalité à 5 jours. "Actuellement", indique Patrick JOURDAIN, "on préconise de considérer la valeur absolue et non la variation des taux de PN".
IC aigue : de la relativité des variations
Publié le 26/06/2009
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Source : Le Généraliste: 2494
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